Rafles et
Les 2 et 5 mars 1943, peu après l’insitution du STO, plusieurs centaines d’hommes sont raflés par la police allemande au centre de Nancy, internés à la prison Charles III de Nancy puis au camp d’Ecrouves près de Toul. Cent d’entre eux sont ensuite déportés à Mauthausen.
Pourquoi ces hommes, ni résistants, ni Juifs ont-il été arrêtés et déportés ? Que sont-ils devenus ? |
176 raflés122 originaires de Nancy
20 d’autres communes de la Métropole du Grand Nancy : Jarville, Laxou, Maxéville, Malzéville, Saint-Max, Tomblaine, Vandoeuvre-lès-Nancy, Villers-lès-Nancy 32 d’autres communes de Meurthe-et-Moselle : Baccarat, Belleau, Chaligny, Champey, Champigneulles, Frouard, Pompey, Pont-à-Mousson, Pulligny, Saizerais 1 de Meuse 1 des Vosges |
À l’origine des rafles : les besoins en main-d'œuvre de l’occupant nazi
Les trois grandes étapes des prélèvements de main-d’œuvre : du Volontariat aux réquisitions puis, pour les jeunes gens, au STO
Les rafles des 2 et 5 mars 1943 à Nancy
La rafle des jeunes le 2 mars
La rafle du quartier Saint-Sébastien le 5 mars
La rafle du quartier Saint-Sébastien le 5 mars
Mars - avril 1943 : un parcours très rapide de l’arrestation à la déportation
D’Écrouves à Compiègne, que sont devenus les raflés ?
Les "120 raflés de Nancy" déportés à Mauthausen en avril 1943
De Compiègne à Mauthausen et à ses camps annexes
Les camps annexes du tunnel du Loibl et des fusées de Wiener Neustadt et Zipf
Le centre de gazage du château d’Hartheim - Survivre ou mourir à Mauthausen ?
Les libérations, les retours en France
Les camps annexes du tunnel du Loibl et des fusées de Wiener Neustadt et Zipf
Le centre de gazage du château d’Hartheim - Survivre ou mourir à Mauthausen ?
Les libérations, les retours en France
La quête d’information des familles : des documents inédits analysés
Demandes des familles, réponses des autorités, un courrier écrit du camp
La mémoire des rafles de mars 1943
À Nancy : Les plaques rues Lallement et Raugraff, le parcours mémoriel
En Autriche : La mémoire des Nancéiens raflés en mars 1943
En Autriche : La mémoire des Nancéiens raflés en mars 1943
Parmi les documents reproduits> Un dessin de Robert Barty, raflé le 2 mars 1943 à Nancy, réalisé peu après la Libération.
L’arrivée des raflés au camp de Mauthausen le 22 avril 1943. Parmi les documents analysés> Une convocation par le préfet à la visite médicale du 2 mars 1943
> Des documents établis par les SS à Mauthausen : La liste SS du convoi du 23 avril 1943 Le camouflage par les SS du gazage en août 1944 de René Marchal L’enregistrement par les SS de la mort d’André Bardot, le plus jeune raflé > Une photo découverte par la famille 70 ans après : Edmond Rémy, le 8 mai 1945, deux jours après sa libération en Autriche par les soldats qui ont libéré Nancy en 1944 |